In English, about Félix Durban
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Les Djinns ne sont pas les génies même si facilité on a appelé ainsi le génie d'Aladin.
Dans le coran il y a 3 types de Djinns, que nous dénommerons ainsi :
Les éphrites (dont Satan/Iblis dont le feu est né de l'argile) : djinns de feu, qui peuplent les terres.
Les marides ou maritimes : djinns qui vivent près des cours d'eau.
Les sylphes : djinns qui vivent près des cours d'eau.
Les djinns sont créés à la flamme d'un feu sans fumée. Celui- est apparu en astiquant une bouteille de soda.
Pour trouver un équivalent occidental antique, on pensera aux faunes et aux sylvains chez les Romains, aux égipans et aux satyres chez les Grecs. On aboutit là à a faune des dieux païens, à ce que les musulmans nomment d'une "abomination" le Shirk, le cirque paîen.
Le redoutable et le génie
Cela touche donc à la dimension du montrueux qui laisse apparent ses viscères, qui montre ses plaies, qui ne se recouvre pa d'une forme apollinienne. On pensera à l'homme du stasimon de l'Antigone de Sophocle. D'où un lien avec le deinos grec, l'homme qu plusqu'habile et capable en devient terrible et redoutable. Le redoutable est à rapprocher des « nephilim », « ceux qui sont tombés », mais qui résilients ce sont rlevés et sont dès lors « ceux qui tombent » sur leurs ennemis, ou « ceux qui font tomber » c'est derniers.
Le redoutable n'a rien du génie classique. Le génie est là pour arrêter la monstruosité. Le génie relie pour rendre convenable
l'inconvenable. La dimension de génie est donc classique et de basse définition car une définition plus "haute", plus hot, sera jugée inconvenable. Le terme génie provient du latin « genius »
issu du grec γεννάν », gennán, « générer, former ». Le terme genius en latin est la capacité d'action d'un état ou d'une personne. On le retrouve dans l'ingénium, qui donner l'ingenio italien et
l' que l'o retrouve beaucoup à la Renaissance chez Vico http://archive.mcxapc.org/docs/ateliers/0707clenet.pdf ou chez Baltazar Gracian
http://beq.ebooksgratuits.com/Philosophie/Gracian-cour.pdf.
L'échafaudage ne vaut que s’il y a une forme préexistante : comme un dôme-coupole qu’on vient enduire ou émaillée. C'est l'échafaudage, qui peut être aussi des étais, des bastaings, des planches de coffrage pour les balcons, constitue la majeur partie des déchets. Le autres noms pour l'échafaudage sont l'appareil ou le montage, quand il s'agit d'assemblage et non pas de concrétion. Les échafaudages sont même prévus à l'avance dans une architecture formelle.
Mais parfois le bâtiment lui-même constitue l'échafaudage comme pour le Centre Georges Pompidou ou les gratte-ciels qui eux jouent de l'assemblage métallique et non de la concrétion. Le pièces sont moulées et extrudées (donc formées et échafaudées) en atelier. Un autre niveau de bâtiment reprend donc l'échafaudage en interne, c'est sont les monstres comme les appelle Nouvel dans son entretien avec Baudrillard (on pensera à ces bâtiments culturels hors-norme tel le carré des arts à Arles, l'Opéra de Lyon ou de Lucerne ou le Centre George Pompidou. C'est dernier concentre un activité sur parfois une dizaine de niveaux pour partie enterrés dans un cuvelage étanche comme à l'Institut du monde Arabe. Ils comprendre ainsi des salles enterrées, des parkings, des zones techniques et des archives.
Ainsi, la première thèse de La société du spectacle détourne la première phrase du Capital, où l'immense accumulation de marchandises déjà constatée par Marx comme réduction de la vie humaine et de son environnement aux critères purement quantitatifs s'est encore aggravée dans le cadre d'une société qui ne peut plus proposer la qualité, que de manière purement abstraite c'est-à-dire sur le plan de l'image, cette qualité ayant été, depuis longtemps, éliminé de la vie empirique des hommes[49].
Anne Jourdain, photographe
Avis de crue
"D’une architecture du glissement" (Entretien réalisé en mars 2011)
Anaïs Delmas: Chère Anne, pourrais-tu présenter les étapes qui ont précédé et préparé ton travail photographique à Moissac ?
Anne Jourdain: Une visite des quartiers les plus touchés, celui de Sainte-Blanche, du Maroc, puis des repérages sur plan m'ont aidée à construire cette recherche photographique. La consultation
des dossiers sur la crue de 1930 et les projets de reconstruction de la ville, aux archives municipales, ont confirmé l'impression que j'ai eue dès la première journée de travail de fort
contraste entre le chaos de la nuit du 3 mars 1930 et les jours paisibles et lumineux d'avril 2010. C'est cet imposant contraste, presque manichéen formellement, qui m'a guidée tout au long des
trois mois de prise de vue.
A.D: A visiter ton exposition, je me demande si la photographie n'est pas une architecture du glissement, comme l'est le cinéma. Qu'en penses-tu?
A.J: S'agit-il d'un glissement de sens? S'agit-il d'une construction? Je comprends que les images cinématographiques glissent dans le sens où, parce qu'elles sont artificiellement animées, elles
produisent une illusion d'optique, un faux mouvement. Mais ce ne sont que des photogrammes. Le cadrage, la lumière, les formes sont les mêmes. Au contraire, une photo "bougée" ou floue ou posée
trouble les sens. Que voit-on vraiment? Au début des années 1960, Chris Marker a réalisé un film, La Jetée, entièrement monté en images fixes. C'est par le montage visuel, sonore (la
voix off du narrateur) que l'histoire prend vie, qu'elle s'anime littéralement. Au milieu du film, l'héroïne allongée, immobile, bat subrepticement des paupières! Avons-nous rêvé? Elle a "bougé",
elle nous a vus, elle nous a eus.
A.D: L'épure de tes images photographiques, tes choix de cadrage, le noir et blanc obtenu à partir de l'appareil Argentique avec lequel tu aimes à travailler, avec lequel seul tu travailles,
confèrent à tes photographies la sensation de longs ou courts métrages dans lesquels chacune s'inscrirait mais desquels il ne resterait que la rare et précieuse prise de vue qui s'offre à nos
yeux et il en est ainsi presque pour toutes, car même celles fonctionnant en série racontent une histoire, un mouvement: celui du corps, celui de la lumière... Que voudrais-tu bien nous livrer à
propos de ton geste?
A.J: Je travaille aussi avec un appareil photo numérique, un petit Lumix, qui me sert de bloc-note photographique. Pour cette recherche en particulier, l'argentique s'imposait car je ne
prévisualisais que des photos en noir et blanc. C'est toujours le même appareil Nikon, depuis près de vingt-cinq ans, qui joue le même rôle. Ce sont les formes des façades, des pignons, des
fenêtres qui ont elles-mêmes donné leur forme aux images. Toutes se sont prêtées au jeu. De même que, par contre-point inévitable, le soleil a appelé la nuit, l'immobilité architecturale imposait
le mouvement des corps. Les corps transparents sont les passe-murailles que tout un chacun rêve de devenir une nuit ou un jour même. Ces corps me sont venus d'images anciennes, réalisées dans les
entrepôts désaffectés de Bercy, la nuit, avant la construction de la grande bibliothèque, avec d'autres étudiants de Paris VIII, vers 1990. Ces corps transparents viennent aussi d'images que je
venais de découvrir en lisant l'extraordinaire journal d'Alix Cléo Roubaud, une sorte d'Alice inversée, retournée en négatif, qui serait partie de zéro vers l'infini.
A.D: Qu'apprécies-tu d'une photo lorsque tu deviens spectatrice?
A.J: J'apprécie sa lumière, c'est-à-dire son éclairage intérieur. Bien que l'image photographique soit fixe, on n'entre à l'intérieur du cadre (toujours Alice) que si la lumière nous
aspire/inspire. Les images vraiment plates, si l'on peut dire ainsi, ont ma préférence, couleur ou noir. Par images plates, j'entends sans relief, sans perspective ni profondeur de champ, planes.
Ce seraient des équivalents photographiques à la planéité picturale. Ainsi, j’ai mis à plat les façades de Moissac plus encore qu’elles le sont par la pureté de leurs lignes en les
photographiant, tout simplement.
A.D: Parvient-on à devenir spectateur de ses propres oeuvres?
A.J: Oui, parfois même avant de les avoir conçues, en l'occurence, avant la prise de vue elle-même. Tout être est séduit par les images qu'il forme à chaque instant en son for intérieur. Il n'a
qu'une hâte, les retranscrire en sons, en mots ou en pictura silencieuses afin de se faire entendre des autres, par sociabilité en quelque sorte.
Anne Jourdain
Avis de
crue
16 avril-22 mai 2011
Vernissage le 15 avril 2011
Moissac. Musée-ancien Palais abbatial
Ce sont les formes des façades, des pignons, des fenêtres de Moissac qui ont elles-mêmes donné leur forme aux images d'Anne Jourdain. Par contre-point inévitable, l'immobilité
architecturale imposait le mouvement de corps fantomatiques.
Une tache est une altération de la couleur sur une surface
A stain is a discoloration that can be clearly distinguished from the surface, material, or medium it is found upon. Stains are caused by the chemical or physical interaction of
two dissimilar materials. Stains are used intentionally in a variety of fields, including in research
(biochemical staining), technology (metal staining), and art (wood staining, stained glass.)
à compléter. Mais c'est intéressant de voir que le "sans-tache" (l'inoxydable) est anti-oxydant et par là anti-bactérien et anti-biotique pour conserver la surface intacte.
La passivation ou passivité représente un état des métaux ou des alliages dans lequel leur vitesse de corrosion est notablement ralentie par la présence d'un film passif naturel ou artificiel,
par rapport à ce qu'elle serait en l'absence de ce film.
Dans la plupart des cas (aluminium, acier, acier inoxydable, titane…), ce film passif apparait spontanément par oxydation, parce que l'oxyde formé sur la surface est insoluble et constitue un
obstacle qui ralentit les processus ultérieurs. La formation de ce film est liée à un domaine de potentiel électrochimique ainsi qu'à un domaine de pH dans lesquels l'oxyde est stable.
Immunité : on parle d’immunité lorsque le métal est stable en présence du milieu corrodant.
Au contact de l'air, les ions H+ se combinent avec les ions OH- et favorisent donc une réoxydation de la pièce.
On procède donc à un traitement, par exemple avec un produit alcalin (OH-), pour éliminer cette ionisation et donc empêcher cette recombinaison. Ce traitement est nommé passivation
Fernand Pouillon, mémoire d'un architecte : "Comment fais-tu pour composer me demanda Hanning, je luirépondis que je ne composais pas avec des objets représentant des immeubles, j ‘organise mes espaces. J e travail pour le piéton et non pour l’aviateur. Je pense à celui quie regarde par la baie de sa chambre ou de son salon. Je me promène dans ces espaces imaginaires et je les modifie lorsque je n’atteins pas la sensation que je souhaite."
Petite réponse à Jacques Lucan, qui refuse de voir les architectes dans leur grande dépression imaginative, se faire l'écho de l'angle et du parallélipipède (avec tout un discours sur l'énigmatique) .
Florilège
Premièr série prise chez Herzog et de Meuron
A présent les parallélipipède plus ou moins énigmatique et défendus en tant que que tel par Nouvel
Bien entendu il y a des exceptions mais même l'architecture moderne était plus organique que cela. Mais pour gérer les nouveaux outils informatique et maîtriser les agences collosales le parallélipipède semble une manière assurée de contrôler ce petit monde, de rassurer et de communiquer dessus.
Je vous dis tout cela sachant que des finesses commencent à apparaître comme chez MVRDV.